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Edgerunners.Inc

 

MISSION 1

Chapitre I

Chapitre II

 

 

 

 

Chapitre I

 

Un message sur ton cellulaire t'informe que ta boite de messages électronique contient un message à caractère important. A l'intérieur, un message codé. Une fois entré ton code d'accès, le contenu est simple, c'est un message de Edgerunners.Inc , une offre de job, un rendez vous pour le soir à 23:00 PM, au EVIL, un bar club branché de Night City.

 

[Si tu veux en savoir plus, il ne te reste plus qu'à te présenter au rendez vous.

Le bar club EVIL est un nouveau lieu de rendez vous branché de Night City. C'est actuellement un bar qui a tendance a grignoté la clientèle de l'AfterLife, un bar à solo le plus réputé de NC. Le message stipule de se présenter à l'entrée et de demander un certain Mr Johnson.

 

[A vous, de présenter par retour vos runners, son apparence, son style, et sa manière de se présenter dans la salle... Une entrée en matière.. ]

 

Une grosse berline noir s'approche de l'EVIL, elle se gare sans autre bruit que le léger sifflement de sa pile à combustible qui se réfracte lentement âpres avoir était soumise a rude épreuve, sous son apparence passe partout les yeux aiguisés de la clientèle de l'EVIL on put reconnaître un model un peut passé  d'Électrique haute fluidité ( Grand tourisme étant ridicule et mal venue pour une urbaine a autonomie bridée)  de chers Général Rotor®. Les quatre roues moteurs pivotent sur elles mêmes  et la voiture se gare dans un mouvement latéral fluide et sans bavure. La porte passager s'ouvre laissent sortir un homme d'une trentaine d'année, au ventre proéminent et a la tète bouffie, l'air excédé il engueule copieusement le pilote :

 

- Connasse, tu vas pas m'apprendre mon boulot en plus, merde!

 

Le pilote descend a son tour

 

- Elle va se calmer la vieillie tante, ou elle vas rentrer à pied si ça continue !

 

Le gros homme s'apprêtant a contourné la voiture lorsqu'il est arrêté par la porte du mort qui vient de s'ouvrir et laisse sortir un homme de grande taille les cheveux artificiellement  grisonnent, les yeux bleu et le teint bronzé,

 

- laisse faire on verra ça plus tard, Ed

 

-Putain, tu vas pas t'y maître aussi

 

Il claque la porte et se dirige d'un pas décidé vers l'EVIL. Le grand se retourne vers le pilote

 

- Arrête ce genre de connerie ou tu vas y laisser ta carrière, OK !

- Oula t'énerve pas trop ou le ballé va ressortir

- Gare la voiture et attend nous là.

- Et puis quoi encore! Je vais pas laissé le gros Ed faire la fête tous seul.

 

Elle claque la porte et la voiture et dans le même mouvement transversale elle s'éloigne pour aller se garer a quelque dizaine de mètres. Âpres quelques insultes et quelques gesticulations, la scène prend fin et les trois personnages rentrent dans l'EVIL.

 

Depuis 20h00 qu'elle est garée au coin de la rue, aussi loin que possible des réverbères, plus personne ne faisait attention à la vieille Max Interceptor banalisée.

Et pourtant...

Vers 22h30, à la faveur de la diversion causée par le passage d'une voiture de joyeux fétards à la stéréo hurlante qui attira tous les regards, personne ne vit une grande forme en sortir et rejoindre discrètement l'autre trottoir pour se diriger nonchalamment vers le club EVIL. Lorsque enfin il remarqua la silhouette, le gorille qui officie à l'entrée fit : "Gloups ! Des emmerdes qui arrivent !" tout en dégrafant la sécurité de l'étui de son pistolet. Un instant plus tard toutefois il se détend :

- Tiens, Harry, tu m'as fait peur !

- Salut Hal, réponds le nouvel arrivant, tu devrais te méfier plus, si j'avais été un méchant tu serais mort et moi dans la boite.

- Oh, ça va... Tout le monde dans la rue connaît le grand Dirty Harry et on sait bien que ce n'est pas parce que tu arrives à me surprendre que n'importe qui peut y arriver.

- Ouais, mais quand même...

- Bon, tu ne nous casse pas tout aujourd'hui ?

- Mais tu sais bien Hal que je ne suis pas méchant, sauf quant on me cherche...

- Bien sur, comme la dernière fois...

- Oh ça... Il m'avait traité de pédé !

- Heu... Ce ne serait pas plutôt qu'il t'avait simplement proposé une petite gâterie dans les toilettes ?

- Ben, c'est pareil !

- Peut-être Harry, mais ce n'était pas une raison pour lui casser les dents sur le comptoir !

- Ouais, j'étais énervé... Bon, je peux aller la prendre ma bière ?

- Vas-y Harry, et bonne soirée.

Pour laisser passer ses 2m10 par la porte, Harry Callaghan, puisque c'est son nom, est obligé de se baisser et de se mettre de biais. C'est donc l'épaule gauche en avant (avec la main droite "bizarrement" à proximité immédiate de sa hanche sur laquelle il y a une drôle de bosse) qu'il entre dans le bar.

A son arrivée, le bruit feutré des discussions baisse d'un ton et la tension monte... Pour revenir à leur niveau habituel quant il se place au bar et commande "Une Bud fraîche !"

La demi-heure suivante se passe sans trop bouger, sirotant tranquillement sa bière à la bouteille (normalement ça ne se fait pas, mais bon... lui on ne voit pas la bouteille dans sa grosse paluche, alors on passe). Il se contente de regarder à la dérobée les autres clients, l'air de rien. Il se fend même d'un sourire (enfin ce qui est pour lui un sourire, voir photo jointe) lors de l'arrivée bruyante d'une demoiselle accompagnée de deux râleurs.

Vers 22h58, il fait signe au barman :

- Dis donc mec, j'ai rendez-vous avec un M. Jonhson...

 

Le barman t'indique d'un petit signe de la tête un homme seul qui boit un coup dans un angle de la salle. C'est un européen, environ la cinquantaine qui prend visiblement du bon temps en regardant danser les jeunes femmes sur la piste. Il semble visiblement absorbé par l'animation ambiante.

23h00 L'homme regarde soudainement sa montre et comme s'il venait juste de se souvenir de pourquoi il est là , il se met à scruter la salle comme s'il attendait quelqu'un. C'est alors qu'il aperçoit Harry et comme tu le regardes aussi, il te fait signe d'approcher.

 

Harry : « J'attrape ma bouteille de bière encore à moitié pleine (c'est pour faire comme tout le monde que j'ai pris une bière, je ne l'ai pas bue : il faut garder les idées claires quant on est là pour affaires) de la main gauche et ignorant toujours aussi superbement le verre (du boulot en moins pour le barman) et je m'approche tranquillement de la table du mec qui m'a fait signe , en surveillant du coin de l’œil les autres tables, la main droite bien ouverte posée sur la boucle de ceinture : le plus rapide pour dégainer.

Si personne ne semble faire mine de dégainer quoi que ce soit durant mon approche, je demande une fois arrivé à 1 mètre :

- Mr Johnson I suppose ?

Si il ne fait pas mine de me contredire, je pose ma bière sur la table, je m'assieds dos au mur (restons prudent) et j'enchaîne tranquillement :

- Harry Callaghan. Vous vouliez me parler de quelque chose ?

 

Mr Johnson : " Installez vous, monsieur Callaghan. Vous êtes le premier mais les autres ne sauraient tardés, il me semble avoir aperçu entrer une charmante jeune femme que j'ai aussi convié. Vous verrez, elle est charmante mais alors quel sale caractère... mais chut, je ne vous ai rien dit. Quand a notre troisième invité, il danse sur la piste depuis plus d'une heure, il était même arrivé avant moi. Je crois qu'il voulait observer en se fondant dans la masse, c'est comme ça que vous dîtes, n'es ce pas ? Excusez moi mais je n'ai pas du tout l'habitude de se genre de situation.... "

 

Harry restant fidèle à sa légendaire diplomatie et légèreté croit alors bon de conclure :

- OK, alors on causera quand les autres seront là. En attendant, vous savez ce qu'on dit chez moi : "Quant on a rien à dire, autant fermer sa gueule."

Tout en finesse non ?

 

Une jeune homme avance alors vers la table. Il est vêtu de fringues plutôt branché mais qui reste pas trop voyante. Il a des cheveux blonds assez en désordre et visiblement à plutôt chaud " Salut, Iceberg. Ca fait une heure que je m'éclate sur la piste et je ne vous avez pas vu arrivé. Quelle ambiance dans cette boîte !!! Dingue, cet endroit m'éclate... Oh, excusez moi, je m'écarte. Je ne pense pas qu'on soit là pour cela. " Puis il s'assoit en face de Harry, il regarde intensément durant quelques secondes puis dit " Je vous connais vous, je vous ai déjà vu quelque part mais je ne me rappelle plus où "

 

Harry :

- Ouaip ! Il parait que je fais partie des gens qui marquent... En général ce sont surtout mes ennemis qui m'oublient difficilement : ils ont souvent des "Regrets éternels" de m'avoir rencontré.

 

 

Puis il tend le bras pour appeler la serveuse et commande un cocktail qu'il boit d'un trait.

" On attend qui encore ? "

 

Le serveur arrive et pose sur la table, non pas le cocktail de Iceberg, mais un Thé glacé, ce qui visiblement n'est pas aux goûts de ce dernier qui ne manque pas de protesté:

 

-Désolé Monsieur, c'est cette jeune femme qui ma demander de décommandé le ( inséré le nom du cocktail préféré de Iceberg ) et de le remplacé par ceci.

 

Le serveur fait un signe de tète en direction d'une la jeune femme qui a fait une entré un peut turbulente il y a moins d'une heure. Harry a put remarqué qu'on l'avait gentiment foutue dehors d'un salon privé ou ses deux grognions de collègues s'entretiennent avec un Fix très en vogue en se moment. Cette dernière voyant que tous les regards se tourne vers elle fait un léger signe de tète et  dessine un large sourire sur son visage. Elle se rapproche de la table, en se faufilant entre les clients de l'EVIL avec une vitesse et une facilité, assez déconcertante sa démarche et sa façon de bouger ne ressemble a rien de connue, ce n'est pas cette démarche robotique et agressive du mec aux réflexes surbooster, ni la démarche lente et gracieuse du dorpheur en sur orbite haute, c'est un mélange de mouvements rapides et terriblement précis, d'un impression de légèreté et d'une grande fragilité, a croire qu'au moindre faut pas le mouvement de la foule suffirait a la disloqué.

 

Arrivé a quelques mètres de la table, les joueurs peuvent mieux la dévisagé, c'est une jeune femme européenne au teint légèrement bronzé d'un peut plus d'une vingtaine d'années, son visage pourrait être très beau si il n'était pas si maigre, se qui fait ressortir ses traits de manière un peut disgracieuse   . Celui-ci est orné de deux Cyber-optiques d'un model assez rare, équipés d'un système d'affichage directement sur la couche extérieur de l'optique, qui sont actuellement entraient d'afficher 2 smilley noir sur jaune. Ses cheveux noir aux reflet rouge sont vraisemblablement artificiel et coupé au carré, elle est habillé d'un pantalon et d'un blouson assortie de toile synthétique violacé assez mode tous en restant sport qui font admirablement bien ressortir sa taille de guêpe.

 

Elle s'assoit nonchalamment sur un des chaise resté libre, et fait un rapide tour de table de la tète.

 

-Jolie chemise, désolé pour le cocktail mais je ne bois pas d'alcool.

 

Elle commence a siroté sont thé, âpres avoir laissé un large pourboire au serveur.

 

" Iceberg, enchanté de vous connaître. J'espère que mon thé est à votre goût.... "

 

Harry : - Bonjour Mademoiselle. Moi c'est Harry Callaghan, mais mes amis m'appelle simplement Harry et mes ennemis ne sont plus là pour parler de moi. Mademoiselle ?????

 

Mais je m'aperçois que j'ai oublié de me décrire...

Mais ma fiche est très complète non ?

Au niveau vestimentaire, c'est très "passe partout" : veste bleu-gris très foncé, chemise claire, cravate... Quasiment une allure de cadre corpo comme on en rencontre des centaines si ce n'est un peu de laisser aller dans le nœud de cravate, la chemise un peu froissée et la veste qui semble un peu trop "raide" avec une drôle de bosse sous le bras gauche.

 

Ice : " Callaghan,..... Ah oui, c'est toi le branque qui a explosé quatre boosters qui braquaient le restaurant où tu déjeunais. Je t'ai vu sur le canal 78, au journal de 20h00. T'es une célébrité, mec. " Puis il marque une courte pause et reprend : " Remarque quand je dis branque, c'est une expression, comme on pourrait dire autre chose.... " Ice vient de s'apercevoir qu'il faudrait peut être qu'il pense à mesurer ses mots !-)

 

 

Se pourrait-il que le fait que j'ai serré le poing en faisant blanchir et craquer mes phalanges, tout en te jetant un regard noir comme un croque-mort en deuil, qui t'ai amené à poursuivre ton texte après ta pause ? :o(]

 

Mr Johnson prend alors la parole : " Bien puis que tout le monde est là, je pense que nous pouvons commencer. Tout d'abord merci d'avoir répondu à mon invitation et excusez mon inexpérience mais je n'ai pas l'habitude de ce genre de situation, voilà la raison de ............ "

 

Tandis que Mr Johnson entame une conversation des plus monotone, un grand Barraqué fait une irruption des plus mouvementés à l'intérieur de la salle. C'est un colosse de près de deux mètres, vêtu tout de cuir, le look biker, avec des cheveux courts coupés en brosse. Mais ce qui attire le plus le regard des runners, ce n'est pas son look mais le solide gaillard qui servait de videur à l'entrée de la boîte. L'homme le traîne d'une main et les runners peuvent apercevoir du sang qui dégouline du visage inconscient du videur. Ce qui attire aussi l'attention, c'est le lourd fusil à pompe qui se trouve dans l'autre main de l'homme. Un silence s'installe durant une fraction de secondes dans la boîte, l'homme projette alors d'une seule main, le videur sur la table la plus proche comme s'il n'était qu'un sac de plume. C'est à cet instant que tout dérape, un barman tire un pistolet de sous le comptoir et s'apprête à ouvrir le feu sur l'homme, mais celui dans une geste d'une rapidité et d'une précision inhumaine, épaule son fusil et abat le barman d'un tir en plein torse. Le barman finit sa vie, aplatit contre l'arrière de son bar, le torse en bouillit...

 

Dans un même mouvement, je descend de ma chaise, pivotant sur la cheville gauche, je pose le genou droit à terre tandis que ma main gauche place bien le pan gauche de ma veste devant moi et que la main droite dégaine mon Nova "Arno" et envoie deux balles dans le mouvement, la première au jugé, dès que l'arme est dans l'axe, puis la seconde quand l'arme arrive, bras tendu, dans l'axe de la visée.

 

 

Le premier tir atteint l'homme à la jambe et à pour effet de le faire tomber à genou, le deuxième l'atteint en plein torse. L'homme a un mouvement de recul dût à l'impact du projectile de gros calibre mais avec une rapidité qui vous impressionne il se rétablit et roule à terre tout en ouvrant le feu dans votre direction. La première gerbe de plomb, du fait de son mouvement n'est pas dans votre axe. Elle fauche trois clients de la boîte qui couraient vers la sortie de secours. La deuxième gerbe de plomb vient siffler au dessus de vos oreilles et tape de plein fouet Mr Johnson qui tétanisé, était rester debout devant la table. Celui-ci s'effondre en sang.

 

Beretta qui est resté assise, se jette a terre se voyant soudain dans la ligne de mire du l'intrus,

 

La panique a gagné la plupart des clients qui tente en désordre de fuir vers l'extérieur, provoquant un mouvement de panique et de bousculade.

 

Beretta : « Putain sa serait jamais arrivé a « l'après vie » une merde pareille » 

 

 

Ice se met à couvert aussi bien qu'il le peu sous la table (tout en essayant de rester digne, mais sous la table.....). Puis il dégaine un petit X-38 d'un holster à la cheville en se disant que sur ce coup là, ça va être un peu juste. Ensuite, il tente de jauger la situation et surtout de repérer une voie de sortie EXPRESS.

" Baissez la tête, ça pue le cyberpsycho, putain, c'est pas mon jour de chance ".

[Tu repères une porte derrière le comptoir, à environ quatre mètres de votre table, par laquelle tente de sortir les barmans encore en vie]

 

Beretta : « Dégage, crétin » hurle telle en le repoussant de sous la table d'un coup d'épaule qui ne manque pas de le surprendre, d'un coup de pied elle écarte le corps de Mr Johnson. Après la scène est d'une incroyable confusion pour l'observateur non avertie, entre le tumulte de la foule et les tires qui fuses en tous sens, Ice qui est aux première loge a juste le temps de la voir arraché d'un coup sec le pendentif qu'elle porté au coup, puis se propulser sur le dos en prenant appuis sur le pied central de la large table. Elle finit sa course la tète entre les jambes du psyco, la dans l'un de ses mouvement dont elle a le secret, elle plaque son spécial de vendredi soir sur les partie du psyco. Le coup a bout portant est assez puissant pour recouvrir le visage de Beretta de sang et de reste de testicule.

 

 

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<OOC>

Si c'est bien un borg elle risque de se faire broyé la gueule a coup de 48 fillette, ou se prendre un bon demis Kg de plomb, car au mieux l'allégement de ses couilles va le déconcentré les quelques sec suffisantes pour que toi ou Harry lui plomb la gueule en règle, dans le cas improbable ou c'est encore assez humain ( pas assez drogué ou boosté ) pour avoir mal sa va lui couper le souffle mais dans tous les cas ça n'as aucune chance de le tuer sur le coup, c'est une action uniquement pour le style Beretta n'est pas une Solo elle n'a pas leurs expérience et ne sait pas tuer quelqu'un en une balle.

</OOC>

<OOC>

C'est bien ce qui m'inquiète ! Le MeuJeu m'a annoncé une partie qui va chauffer et il semblerait qu'Harry représente à lui seul environ 80% de la puissance de feu du groupe... Lui qui est petit, faible et si peu armé... ;o)

 

Ysgawin

</OOC>

 

 

A la grande surprise de Beretta, elle reçoit en plein visage, non pas du sang et des reste de testicules, mais des débris mêlés de latex et autres matières synthétiques. Du moins pour autant que Beretta en a le temps d'en faire l'analyse avant que l'homme ne lui porte un puissant coup de pied en pleine tête.

 

 

 

Face à cela, Harry se relève marche d'un pas décidé vers l'agresseur en continuant de tirer, mais cette fois, en visant la tête ! Pendant ce temps, entre deux tirs, de la main gauche, il tente de refermer sa veste.

 

Comme disait Renaud dans sa chanson "Gérard Lambert" :

"Ca sent la peur,

Ca pue la mort,

J'aime bien c't'ambiance,

Pas vous, ah bon ?"

 

Juste pour ajouter qu'en se levant il dit calmement:

Harry : "Bougez pas de là les jeunes et occupez vous de m'sieur Johnson. Je termine de régler ce petit incident et je reviens."

 

Iceberg toujours à genou derrière la table se dit qu'il va pas laisser les autres avoir tous les honneurs. Il prend son courage et son .38 à deux mains, se relève et vise également la tête de l'homme.

 

Harry : Décidément, mon petit Iceberg, tu aimes vivre dangereusement ! N'oublies pas une chose : les honneurs et la gloire, il vaut mieux être vivant pour en profiter !

 

Au moment où l'homme envoie un coup de pied à Beretta, il est atteint par les deux tirs de Harry, suivit quelques fraction de secondes plus tard, par deux tirs supplémentaires de iceberg, dont un manque sa cible. Une grande partie du visage de l'homme est arraché par les impacts, laissant apparaître une structure crânienne en métal, ainsi qu'un cyberoptique d'où émane une petite lumière rouge. Sous la puissance des impacts, l'homme tombe à la renverse et s'étale de tout son long, juste à côté de Beretta. Après quelques secondes, l'homme paraît toujours inanimé.

 

Iceberg : " Là, je crois qu'on l'a eu..., enfin j'espère. Qui va voir ? Je crois aussi que Beretta est out... "

 

<OOC>

 

Je peux connaître mon état ? Par pure curiosité ^_^ Bon j'en connais une qui va arrêtée de se prendre pour une Solo. Le problème c'est que le dos de Harry n'est pas assez large pour Iceberg et Beretta ...

 

</OOC>

 

Harry : "Saloperies de borg ! Je déteste ces engins là !" pense Harry. Je scanne avec mon cyberoptique sur toutes les fréquences possibles pour tenter de détecter une trace d'activité, que ce soit en infrarouge (échauffement de circuits) ou en ultraviolet (Je ne sais pas trop quoi, mais on ne sait jamais).

J'enchaîne avec une petite recherche rapide dans mes puces "Police" et "Wanted" si il y a quelque chose soit sur ce type de borg, soit sur M.Jonhson... ou sur mes deux petits camarades de jeu, on ne sais jamais ;o) Cela ne devrait prendre que quelques secondes. Tout en gardant un oeil sur le "cadavre" du borg bien sur...

 

 

[tes différents senseurs ne t'apportent rien de précis. Le corps du borg est très chaud et tu ne peux en tirer aucune information sur son état ... En ce qui concerne les puces polices, tu n'obtiens non plus rien de précis.]

 

 

Beretta gît à terre sans vie, la cervelle en bouillit. Sa tête a été broyé par le coup de pied du borg. [Mes sincères condoléances....]

 

 

Alors, Harry lâche le pan de sa veste et farfouille à l'intérieur (avec la main gauche, la droite garde l'Arno pointé vers le "cadavre" (?) du borg) pour en ressortir 2 choses : son cellulaire et une carte marquée "Night City Police Département". Enfin.....

Si on y regarde d'un peu plus près, on peut lire, juste au-dessus "Orphelinat du", et en-dessous "Membre donateur". Mais comme ces deux mentions sont en caractères de taille 6 points, quasiment de la même couleur que le fond de la carte, au delà de 2 mètres, on ne les voit pas et la carte ressemble à s'y méprendre à une vraie carte de police, sauf pour la médaille, mais ça peut quand même faire illusion. Certains prétendent d'ailleurs que cette similitude d'aspect des cartes serait à l'origine de près de 40% du nombre d'envois de chèques...

<OOC>

NOTE : Cette histoire est REELLE pour un autre orphelinat d'une Police...

Ysgawin

Ancien fonctionnaire de police

(Ca aussi c'(est vrai)

</OOC>

Des mauvaises langues sans doute. Et l'état major du NCPD laisse faire : c'est pour une bonne cause après tout. Donc Harry exhibe sa carte de l'orphelinat et gueule :

"POLICE ! Restez assis et calmez-vous ! La situation est sous contrôle maintenant. Les toubibs vont arriver pour les blessés et la direction va se faire un plaisir d'offrir une tournée générale pour vous aider à vous remettre. Alors, ne bougez pas, y'en a plus pour longtemps !"

Puis, sur le cellulaire il appuie sur une touche pré-programmée et dis cette fois beaucoup mois fort :

"Salut, c'est Harry Callaghan, vous pouvez me passer le central opérations SVP ? Merci......"

<Petit temps mort>

"Bonjour, ici c'est Harry Callaghan... Tiens, salut mon capitaine, ça va toi... Bon, là je t'appelle parce que mon "aimant à problèmes" a encore marché.... Ouais... Tu peux m'envoyer du monde à l'EVIL s'te plait ? Avec des ambulances, le légiste et un spécialiste en borgs.... Et tu préviens bien les "bleus que le grand avec un flingue à la main, c'est un gentil et que le méchant il est par terre, des fois que ce serait encore des intellectuels ou des petits jeunes qui ne me connaissent pas encore !... OK.... On s'téléphone et on s'fait une bouffe !"

<OOC>

NOTE : le terme de bleus désigne, en argot policier, les personnels en tenue, par opposition à ceux en civil

</OOC>

puis il raccroche... et attends la suite et les renforts Sans quitter de l’œil le borg.

"Saloperie de borgs ! Je déteste ces trucs là !"

 

ice : " c'est pas que j'ai quelque chose contre les flics, mais c'est comme les borgs, moins j'en croise et mieux je me porte. Et puis ils ont la fâcheuse tendance à poser plein de question et moi, les questions j'aime pas.

Dis tu crois que beretta vit encore ? "

Ice contourne le borg et s'approche de Beretta. Il vérifie la présence de pouls, puis dit " plus rien, on pourrais peut être appelé le trauma team ". Puis il regarde de nouveau beretta :  " Vu l'état de sa tête, je crois pas qu'ils y puissent encore quelque chose.... "

 

 

Avant même que iceberg ait pu terminer sa phrase, le borg se redresse sur le côté et saisit Iceberg à la gorge. Tout s'est passé si vite que Iceberg n'a pu réagir. Iceberg ressent alors une très forte pression autour de son cou. Il ne peut plus respirer et il peut sentir ses vertèbres craquer. Son cerveau n'étend plus irriguer, il sombre dans une semi-inconscience.

 

Harry : "J'espère bien que cette saloperie n'a pas tué tout le monde..." "Saloperie !"

<OOC>

Je sais, ça fait limité comme vocabulaire ;o)

</OOC>

Et je lui envoie mes deux dernières pralines du Nova Arno ! Et comme je me suis assez rapproché, cette fois, ce n'est plus la tête que je vise, mais la loupiote rouge de la cochonnerie de cyberoptique de cette pourriture de saloperie de m.... de Terminator ! Non, ce n'est pas une connaissance en cybernétique, c'est une réminiscence cinématographique des vieux films de la fin du XXème siècle.

Puis, bien sûr, je recharge mon Nova (c'est à dire que je le prend en main gauche pour ouvrir le barillet et remettre des balles avec la main droite libre) en écartant d'avance mon bras gauche, au cas où je devrais dégainer mon paltik en urgence. Je contourne un peu la "chose" pour essayer de jouer au

foot avec tout ce qui peut ressembler à une arme et qui serait à portée de ses mains...

Sans le quitter de l'oeil bien sur ! Et sans cesser de ronchonner : "Saloperie de borg !"

 

Les deux dernières balles du nova termine de faire exploser la tête du borg, projetant des débris de métal dans toute la pièce. Cependant même privé de sa tête, l'emprise du borg sur le coup de Iceberg ne se desserre pas entraînant Iceberg inexorablement vers la mort.

 

 

Puis, bien sûr, je recharge mon Nova (c'est à dire que je le prend en main gauche pour ouvrir le barillet et remettre des balles avec la main droite libre) en écartant d'avance mon bras gauche, au cas où je devrais dégainer mon paltik en urgence.

 

 

 

Tandis que Harry recharge son arme, il peut entendre, provenant du corps sans tête du borg, un petit bip répéter. Une puissante explosion balaye alors toute la pièce, détruisant en grande partie l'intérieur de la boîte de nuit et tuant les personnes les plus proches (dont harry....)

 

 

 

 

 

 


Chapitre II