Edgerunners.Inc

 

MISSION 1

 

 

 

 

 

Chapitre I

 

 

Night City

21:00 PM

 

Un message sur ton cellulaire t'informe que ta boite de messages électroniques contient un message à caractère important. A l'intérieur, un message codé. Une fois entré ton code d'accès, le contenu est simple, c'est un message de Edgerunners.Inc , une offre de job. Un rendez-vous est fixé pour dans deux heures, au parking souterrain de l’aéroport de Night City, niveau –5, place 215.

Le nom du contact est un certain M. Grüger.

 

[Si tu veux en savoir plus, il ne te reste plus qu'à te présenter au rendez-vous.]

 

Situé à l’extérieur de la ville, l’aéroport de Night City est un aéroport international avec une fréquentation des plus élevées. Il y a beaucoup de va et vient tout au long de la journée même si passé 22 heures, on peut noter une certaine baisse du nombre de voyageurs présents.

Les parkings destinés à accueillir les véhicules des voyageurs s’étendent sur 5 niveaux. Les runners ont rendez-vous au niveau –5, le dernier niveau.

A cette heure tardive, le dernier niveau est plutôt calme et il y a de nombreuses places libres.

A la place 215, il y a une grosse berline noire avec les vitres fumés. Un homme attend à proximité. Il est assez baraqué et porte un costume noir (sûrement blindé) à la dernière mode corporatiste. Un autre homme que l’on croirait sortit du même moule est posté un peu plus loin.

 

Description : Lunettes de soleil, Veste noire assez ample, Pantalon noir style treillis (avec un peu moins de poches), chaussures types rangers mais un bien moins lourdes et robustes (genre on peut courir avec), gants noirs, Cheveux noirs, lisses, coiffés en carré plongeant.

 

Je vais prendre la ligne de Rinc A (je prends le prochain, tant pis si je suis en avance). Arrivée sur place je me dirige directement au 5ème sous-sol, puis vers la limousine (si les 2 gorilles me parlent : « Je viens voir M. Grüger. », s'ils me demandent qui je suis : « Velvet. »)

 

Si je vois les autres en arrivant, je leur fais un signe de tête en guise de salut suivi de « Enchantée, Velvet. » (présentation brève mais efficace).

 

A l'heure dite, Garlaz arrive, ponctuel.

Il est arrivé par les transports en commun : c'est le moyen le plus économique de venir.

Il est habillé comme à son habitude pour ce genre de rendez-vous : veste une petit peu raide marron foncé, sur une chemise ample vert sombre, jean's et baskets. Mal rasé, mais les cheveux longs bien peignés, il a tout pour passer inaperçu, si ce n'est les sourires qu'il lance à toutes les demoiselles qu'il croise... "Pour le plaisir... "comme disait un chanteur des années 80 (il devait s'appeler Bébert Leconnard je crois, ou un nom approchant).

En arrivant au sous-sol, il a la main droite enfoncée dans sa poche et, après un rapide coup d’œil sur les gorilles, se dirige vers la limousine.

"Excusez-moi, Mais c'est bien ici que M. Grüger m'attends ? Je m'appelle Garlaz...", demande-t-il poliment et avec un sourire commercial au gorille à coté de la portière.

 

Quelque part dans le parking résonne le coulissement des portes d'un ascenseur. Quinze minutes après arrive au bout de l'allée une silhouette moyennement grande, celle-ci semble se diriger vers la berline d'une démarche raide et gauche. Au fur et à mesure qu'elle s'approche, la silhouette se fait plus précise, tandis que résonne le bruite légèrement métallique de ses bottes, elle semble porter une sorte de chapeau de paille, avec en dessous un bandana rouge, son visage est masqué par une cagoule de couleur noire. Malgré l'obscurité, elle porte des lunettes de soleils.

Elle s'immobilise finalement devant le premier homme, pour finalement sortir une main gantée de la poche droite de son pantalon.

_"Bonsoir, à qui ai-je l'honneur ? " Sortant son autre main de son jean noire, et pointant la berline "Monsieur M. Grüger est-il dans la voiture ?"

 

Quelques minutes après, la porte de l'ascenseur s'ouvre, une jolie jeune femme en sort. Elle porte une robe noire des bottes avec de grands talons, elles aussi noires, en fait, elle ne porte que du noir, elle est très mystérieuse. Elle avance vers la voiture, sure d'elle. Elle s'approche et dit à l'homme près de la voiture:

" Enchantée, je suis Eleanore. M. Grüger est -il là? "

 

Alors que les premiers arrivés sont en train de s’observer les uns les autres, ils peuvent entendre provenant du fond du parking un bruit de roulette. Ils voient juste après arriver un homme vêtu d’un costume gris à rayure, d’une chemise blanche et cravate, petite lunette ronde. Il trie derrière lui une valise sur roulette. Au premier abord, les personnes présentes peuvent se demander si ce n’est pas un homme d’affaires comme il y en a des centaines dans les aéroports qui rejoint son véhicule. Mais ils s’aperçoivent assez vite qu’il se dirige en leur direction.

Arrivé à la place 215, il se présente en saluant les personnes présentes d’un signe de tête : « Bourne…, Jason Bourne. J’ai rendez-vous avec un certain Grüger… »

 

Une fois tous les runners présents, le gorille qui attend devant le véhicule s’approche de la porte arrière de la voiture et l’ouvre. Quelques secondes plus tard, un homme plutôt imposant en descend. Bien que vêtu à la mode corporatiste, on peut facilement s’apercevoir, à sa démarche, à sa façon de se bouger et ses regards, qu’il doit avoir une longue expérience de la rue.

Il avance, d’une démarche imposante en direction des runners et se présente : « Grüger, mon nom est Grüger. C’est moi qui vous ai fixé ce rendez-vous et je vous remercie d’y avoir répondu. Nous allons vous conduire vers un site sécurisé où je pourrais vous briefer sur votre job. »

Alors qu’il termine sa phrase, un van approche et stoppe à côté des runners. « Si vous voulez bien prendre place à bord. » Sur ce, Grüger monte à l’arrière du van… 

 

"Ya wohl mein Herr!" rétorque Garlaz avec un grand sourire, tout content qu'il est d'avoir réussi à caser l'une des 2 ou 3 malheureuses expressions qu'il connaît en allemand... Comme quoi, les compétitions internationales, ça peut servir à tout... Et que la culture, c'est bien comme la confiture : moins on en a, plus on l'étale !

Et il grimpe dans le van à la suite de Grüger... sans sortir la main droite de sa poche.

Une fois monté dans le van, Garlaz s'installe au fond, à droite : la place du cancre... Et semble sombrer dans ses pensées.

 

<OOC>

Message direct au MeuJeu :

Donc, une fois installé au fond, Garlaz respire lentement, tranquillement...

Une simple question de décontraction et de concentration pour suivre ce qui se passe avec le plus d'acuité possible.

C'est qu'il est plutôt tendu l'ami Garlaz : c'est son premier rendez-vous comme runner professionnel, alors il se méfie. Il a lu et entendu tellement d'histoires sur les runners...

Le van lui a fait immédiatement penser à un corbillard... Donc il se méfie et craint quelque chose. La seule qui lui vienne à l'esprit, c'est une tentative de les "gazer". Pourquoi Grüger ferait-il ça ? Il ne s'est même pas posé la question. Il craint la chose, c'est tout.

Alors il s'installe au fond et surveille. La technique respiratoire de concentration qui s'apparente à une version simplifiée du yoga lui permet normalement de consommer moins d'oxygène. Enfin c'est ce qu'on lui a dit. Donc, s’il voit les autres s'endormir sans raison, il cherchera à être prêt à réagir. En faisant quoi ? Il ne sait pas trop, cela dépendra de l'intuition du moment. Pour le moment il hésite entre une balle dans les vitres ou dans la tête de Grüger...

</OOC>

 

Jason sans dire mot, monte à bord du van en tirant toujours derrière lui sa valise qu’il glisse entre ses jambes.

 

Puis a son tour, Eleanore monte dans le van .

 

A sa suite, Velvet monte dans le Van et s’assoit à proximité de la portière.

 

Grüger lance un regard interrogateur en direction de l'homme au bandana. Il fait alors signe aux deux gardes qui attendent toujours à l'extérieur de venir. " Allez en route, on a assez traîné ici... " Puis il lance un dernier regard en direction de l'homme au bandana

 

"Oups, pardon, excusez-moi !"

L'homme au bandana monte la où il y a bien une place dans ce superbe véhicule motorisé..

 

Aussitôt les runners embarqués, un des gardes referme la porte du van et monte à l'avant côté passager. Le deuxième garde rejoint la berline juste à côté. Les deux véhicules démarrent et se dirigent vers la sortie du parking.

Arrivé au niveau -2, une deuxième berline similaire qui attendait à proximité des passages d'entrée /sortie du parking, rejoint les deux premiers véhicules. Ils forment alors un convoi composé des deux voitures en avant garde et du van en dernier.

Le convoi quitte alors la zone de l'aéroport de NC et se dirige vers l'autoroute qui conduit au centre ville. Les véhicules roulent à bonne allure, se frayant tant bien que mal un passage à travers la circulation.

Durant le trajet, Grüger s'adresse aux runners : " Je vous prie de m'excuser pour ses pratiques qui ne doivent trop pas vous plaire. Mais nous devons agir de la sorte afin de pouvoir vous conduire vers un site sécurisé où nous serons plus au calme pour nous entretenir. "

Pendant ce temps, le convoi continue sa progression en direction de la ville mais un peu avant il prend une sortie qui les dirige vers la périphérie immédiate de la ville, dans une zone en bordure de la zone de combat. Ce n'est pas encore la zone de combat mais le paysage urbain commence à se détériorer.

Grüger : " Nous ne sommes plus très loin "

Les runners peuvent remarquer que les gardes semblent plus inquiets. Le passager à sortit de la portière, un PM et scrute avec insistance les environs.

 

Le convoi s'engage alors dans une rue à sens unique. Une camionnette sortant d'une rue transversale vient se glisser devant le convoi puis soudainement stoppe...

 

Séraphin : « Oulà, c'est pas bon ça ! »

Je commence immédiatement à m'aplanir sur le siège, de manière à représenter une cible de la plus petite surface possible, surtout au niveau des fenêtres...

 

Aussitôt Velvet dégaine, demande au conducteur de faire marche arrière pour pas rester coincé dans la ruelle et demande quel type de blindage possède le van et scrute les environs. Puis elle demande aux autres qui sait se battre (=qui peut déblayer le passage).

 

Jason imite l'homme au bandana et se tasse dans son siège. Il dégaine aussi son automatique et répond à Velvet : " Je ne suis pas un pro de l'engagement direct mais je sais tirer juste et me défendre... "

 

Calmement, Garlaz sort enfin la main droite de sa poche, tenant son IMI Dwarf et exhibant la connexion superarme branchée et il répond à Velvet avec un grand sourire "Prêt !".

Puis, de la main gauche, il ouvre sa veste et sort un peu difficilement de sous sa veste un petit PM H&K et demande d'un air interrogateur : "Ca intéresse quelqu'un ou je le garde ?"

 

Grüger répond à Velvet juste après avoir lancer là la radio l'ordre de faire marche arrière à tous les véhicules. " Le blindage des véhicules est léger mais résistera au tir de petit calibre. " Puis il rajoute : " Mes hommes sont des pros, ils vont nous sortir de là. "

 

Il est vrai que les hommes de Grüger réagissent avec rapidité et méthode. Tous les véhicules font marche arrière mais au moment où le convoi arrive au niveau d'une rue transversale, un deuxième véhicule vient couper leur retraite.

Au même moment, la porte arrière du premier véhicule s'ouvre et les runners peuvent voir apparaître un homme cagoulé tenant sur l'épaule un lance-roquettes. Il tire sur la première voiture du convoi qui explose sous l'impact de la roquette. L'homme recharge alors une deuxième roquette...

 

Garlaz lâche son PM et fonce, ouvre la porte latérale de la main gauche libérée, s'accroche en haut de l'armature, tend le bras droit et un oeil à l'extérieur (la description est longue, mais dans l'espace d'un van, tout ça se fait en 1/2 seconde, sauf si la porte est verrouillée...) et envoie 2 balles de 10mm sur le tireur au lance-roquettes.

 

Les deux balles manque leur cible de peu mais ont pour effet de pousser le tireur au lance-roquettes de se mettre à couvert derrière son véhicule...

 

Jason ramasse le PM de Garlaz, sort du van (du côté où il ne gêne pas Garlaz) entraînant les autres avec lui. Puis il se met à couvert le long de la paroi du van. Il s'occupe alors de se brancher sur le PM mais surtout il inspecte les environs pour se faire une idée de la situation et plus précisément il jette un œil en direction du deuxième van qui bouche leur retraite. (Il ne s'occupe pas de l'avant laissant faire Garlaz...)

 

Séraphin : "Désolé, mais question combat dans le monde physique, je suis carrément out !"

 

« La police est appelée » (velvet a un tel cyber) {je n’usurpe pas le pouvoir du MJ : ceci reste soumis à son bon vouloir}

 

[La police a bien enregistré l’appel. Leurs patrouilles sont en route…. Patience….]

 

Vu que c est velvet qui est au niveau de la porte, elle ouvre la porte, et pendant que Garlaz nous couvre, j ordonne à tout le monde de sortir et de nous couvrir (Jason couvre l’arrière, Garlaz l avant + les 2 gorilles) pendant que j escorte Grüger dans une ruelle voisine pour le sortir du feu croise {c est la qu'on se dit : que cette ruelle est bien placée}.

[Voilà la situation de la ruelle. La ruelle est étroite, il est coupé par deux autres ruelles transversales. La première, dans votre dos est bouché par la deuxième camionnette (qui d’ailleurs arrivait par cette même ruelle). La deuxième ruelle, devant vous, se trouve à une dizaine de mètres derrière le premier van qui bouche le passage. A votre niveau, il y a, grimpant le long de la façade de l’immeuble de droite, un escalier de secours qui conduit aux différents étages de cet immeuble. (Malheureusement pour vous, le dernier niveau de l’escalier, celui qui donne sur le sol, est escamotable et relevé en position haute).

Passons à ce qui s’y passe. La première voiture de votre convoi a explosé sous l’impact de la première roquette, tuant les deux gardes qui si trouvés. Les deux gardes de la deuxième voiture en sont descendus et à couvert derrière celle-ci, ouvre un feu nourrit sur le van de devant.

Les deux gardes et Grüger qui vous accompagnait sont descendus en même temps que vous. Ils couvrent l’arrière et Grüger coordonne leurs actions.

En ce qui concerne le van de derrière, au moins quatre ou cinq personnes en sont descendues par l’arrière. A couvert derrière leur van, ils s’apprêtent à ouvrir le feu sur les runners…. ]

 

{Si cela ne parait pas incompatible avec ce que l on voit au MJ, je pense qu il serait bon a ce stade de connaître l’agencement de la ruelle, qui sort des véhicules, est ce qu il y a des gens sur les toits, des passants, des couverts potentiels (bennes a ordure... 0}

{Ensuite : You wanna dance ? Shake it baby (le premier qui trouve la référence a gagne)}

{Note pour Séraphin : t as la même cagoule que eux, fait gaffe qu on ne te tue pas par mégarde...}

 

Garlaz : "Heu... Jason, au fait, fais attention, ce PM H&K P2M-13S est un petit calibre (.177E), donc ça recule très peu, mais il fait quand même, en moyenne les mêmes dégâts qu'une 9mm (1d6+4=7 en moyenne, comme 2d6+1=7 en moyenne...).Et en plus il est fichtrement précis (+2) ! Mais comme il est difficile à trouver sur le marché américain, ne me l'abîme pas... Je ne suis pas certain d'avoir l'occasion de retourner de si tôt en Europe pour en acheter un autre !"

 

Jason : " T'inquiète, j'en prends soin comme si c'était ma première paire de basket...  Ah, non, pas les baskets, ils ont mal fini... ;-) "

 

Garlaz (entre deux tirs) : "Ok, je te fais confiance. Couvres donc mes arrières s'te plait pendant que je fais le ménage devant"

 

Jason répond d'un signe affirmatif de la tête et au même moment il envoie une courte rafale ne direction du van de derrière pour s'assurer que les gars derrière gardent bien la tête basse.

 

Sentant les autres se bouger, Garlaz se concentre sur la camionnette devant :

Si le tireur au lance-roquettes n'est pas tombé mort, cyberoptique zoom avant, inspiration d'1 seconde, blocage de la position et prise de visée sur la croix (ligne des sourcils/arrête du nez... Je vise la tête quoi) en apnée 1 seconde et appui régulier sur la détente du Dwarf toujours en apnée sur la seconde suivante. Un beau tir de précision, comme au stand en compétition.

 

Le tireur au lance-roquettes est en train de se mettre à couvert quand il est atteint en pleine tête par le tir de Garlaz. Il tombe à terre, tué net.

 

Si la menace du lance-roquettes est "traitée", comme disent les militaires (c'est à dire s’il est mort ce fumier), je cherche les autres cibles potentielles : logiquement, il devrait y en avoir au moins un second du côté du poste de conduite... Pour ça je balaye la zone du regard, en actionnant progressivement le zoom et avec quelques brefs passages en infrarouge thermique pour tenter de localiser la source de chaleur qu'est un corps humain encore vivant, bien que la bagnole qui a pris une roquette fasse un brouillage convenable.

 

Le balayage visuel de la zone te permet de détecter au moins trois autres cibles qui sont à couverts derrière leur van. Elles échangent des coups de feu avec les deux gardes de la voiture situé devant toi. Il semble que les deux gardes parviennent pour l’instant à les contenir.

 

Ok, alors là aussi, calmement (oh, 9 en "Sang froid" quand même !) comme pour le précédent, un par un, position de tir de match (profil, arme en main droite, main gauche sur la hanche), technique de tir match (stabilisation, prise de visée en sans respirer milieu de la tête, appui en douceur, progressif et sans accoue sur la détente), localisation tête (bref, un tir de précision dans la tête) et Garlaz envoie une balle dans chacune (de gauche à droite) des trois cibles restantes.

S’il rate une cible, Garlaz double son tir dessus, toujours en précision. ATTENTION, s’il rate trop, il faudra que je change de chargeur : son Dwarf est en configuration compacte, donc 7 cartouches dans le chargeur, plus une dans la chambre, ça ne fait que 8 coups d'autonomie...

 

Les trois hommes derrière leur van restent à couvert et ouvre le feu le plus souvent au hasard en tirant des rafales en direction des véhicules. Les deux gardes de Grüger en font à peu près autant.

 

Une des hommes qui relève la tête pour essayer de viser une cible plus précise, est coupé dans son action par UN tir de Garlaz qui l’atteint en pleine tête.

 

Un autre homme est touché, presque au même moment par une rafale d’un des gardes…

 

Puisque la situation se décante à l avant, Velvet emmène Grüger dans cette direction en disant aux 2 gorilles qui étaient dans le van de couvrir l’arrière avec jason. Puis quand on arrive au niveau de Garlaz, Velvet lui dit également d’y aller pendant qu’elle avance avec Eleanore, Séraphin Grüger et les 2 gorilles de la voiture 2 (en éliminant toute résistance au passage (shoot dans la tête)).

 

Garlaz, en changeant de chargeur : "OK, je vous laisse le petit dernier devant. Mais là, c'est pas normal leur réaction ! Il faut se manier de se barrer ! On dirait qu'ils attendent quelque chose..."

 

OK on trace, mais velvet reste particulièrement sur ses gardes ((vis a vis des méchants, de Grüger, des gorilles, de Séraphin...)

Puis on passe le petit dernier, et s il n'y a personne en vue, et que le van est toujours fonctionnel, on part avec (en récupérant un ou deux méchants morts au passage (pour identification future), et leur matos s’ils ont du matos cool).

 

Garlaz : "Enfin, on commence déjà par terminer le nettoyage... et on se casse après. Je m'occupe de ceux derrière avec Jason et le garde du van. Mais je ne le sens pas ce coup... Ca sent la merde de dernière minute..."

 

Le dernier agresseur toujours à couvert derrière le van de devant, se sentant submergé tente une sortie. Il roule sur le côté tout en lâchant une rafale de son PM qui vient frapper de plein fouet le premier des gardes de Grüger qui s'était avancé.

 

[en ce qui concerne le van, étant donné l'ampleur du tir de couverture effectué par les gardes de Grüger, il est tout sauf en état de marche]

 

OK, (puisque le type a eu l initiative), Velvet se contente de riposter et de l envoyer au paradis des hommes sans têtes (...)

 

[ Ce qu'elle fait avec beaucoup de talent, le dernier agresseur étant à la fois atteint en pleine tête par velvet et par l'autre garde. Puis voyant que la menace semble écarter, le garde s'occupe de son compagnon qui ne semble pas blessé trop grièvement... ]

 

Puis on continue à avancer dans la rue à la recherche de couverts ou d une zone sure (toujours avec la même méfiance) et Velvet demande à Grüger s'il ne connaît pas le coin et/ou la direction à suivre pour aller la ou il voulait, s il y a des gangs/zones à éviter dans le coin...

Velvet demande également a Eleanore et Séraphin de ramasser les armes des méchants : ça fait déjà ça de moins que les têtes de Dorph du coin utiliseront pour nous embèter.

 

Garlaz (en passant) : "Et si vous trouvez des cartouches de 10mm, pensez à moi ! Je commence à être "short fuel" !"

 

[Une fouille rapide des agresseurs et de la camionnette vous permet de récupérer trois Pm Arasaka Minami, chacun avec deux chargeurs... Les agresseurs ont des gilets pare-balles et aucun papier sur eux. Ils ont aussi des automatiques Arasaka Wsa (2 chargeurs chacun)]

 

Garlaz : "En plus des flingues, récupère aussi les pare-baaaaaaaalles !!!"

(Ben quoi ? Je dis ça en passant au sprint pour aller récupérer le lance-roquettes non ?)

Puis d'ajouter plus pour lui-même : "Bordel, c'est pas du matos de zonard ça ! En plus c'est standardisé ! On est tombé sur une équipe de pros... On est vraiment dans la merde..."

 

Velvet rengaine son Nomad, prend 2 Arasaka WSA avec tous les chargeurs (poches) + 1 WSA dans le l’élastique du pantalon, et confie les Minami 10 aux autres (même s’ils ne savent pas s’en servir, ça peut toujours impressionner)

 

Puis si personne ne connaît le coin (Grüger ou quiconque d autre) on bouge pour pas rester là s’il y a du renfort qui se la ramène (en même temps : tel à la police pour la tenir informée de la situation et savoir où ils en sont...)

 

{Garlaz, dépêche-toi de finir de t amuser avec ton lance-missiles}

 

<OOC>

Pour moi, c'est dès que notre MeuJeu veut bien...

Garlaz

</OOC>

 

Garlaz : "Et les pare-balles ? Oublie pas les pare-balles ! Ca coûte la peau des fesses ces trucs là !"

 

Garlaz : "Mais y'a vraiment pas moyen de forcer le barrage maintenant qu'il n'y a plus d'ennemis pour tenir la position ? Et puisque la camionnette de devant est HS (et je suppose que celle de derrière ne doit guère aller mieux), les seuls véhicules encore en état de rouler sont le van et la deuxième voiture d'escorte de Grüger. Donc, à mon avis, on devrait plutôt voir ce qu'on peut faire de ce coté là... J'ai pas très envie de me balader à pied dans cette zone !"

 

<ooc>

J’ai considéré que nos véhicules étaient bloques, sinon on n'en serait pas descendu, n'est-ce pas ?

Cela dit, sans se balader dix ans a pied, y a peut-être moyen de trouver un abri convenable dans le coin (bar, magasin, immeuble...)

Velvet

</ooc>

<OOC>

OK, on était bloqués, mais ma question était plutôt : maintenant qu'il n'y a plus personne devant pour nous gêner, est-ce qu'on ne peut pas dégager le passage ?

Garlaz

</OOC>

 

Séraphin : "Heu, puis-je me permettre de vous rappeler que huit gaillards costauds comme vous devraient pouvoir déplacer une camionnette, sans trop de mal ? A la limite, en coupant le frein à main..."

 

Garlaz : "C'est à peu près le sens de la question que je posais... A plusieurs gars costauds... éventuellement aidés d'un véhicule, s’il en reste un en état de rouler... D'ailleurs, Séraphin, tu n'y connais vraiment rien en mécanique ? Et du coté des moteurs, il doit bien y avoir des boîtiers électroniques de contrôle et de diagnostic sur des caisses modernes comme celles de Grüger. Tu ne pourrais pas voir ce que ça donne ?"

 

Bon, je veux bien regarder les bolides survivant, vu qu'apparemment, j'aurais quelques connaissances en mécanique. De plus, pour ce qui est des véhicules, en particulier notre van, vu que de toute évidence il a surtout morflé des balles de dos, et non pas de face vu qu'il y avait une voiture devant, mis à part s'ils ont tiré au niveau des pneus, il devrait être en état de rouler...

Enfin, je suppose...

Séraphin

 

En mécanique, je ne sais pas, je ne connais pas ta fiche par cœur (j'ai déjà du mal avec la mienne), mais tu es bien le NetRunner du groupe non ? Donc si tu essayais de te connecter sur le système de contrôle électronique des véhicules, tu pourrais peut-être en tirer quelque chose sur l'état général de ces derniers... Enfin je pense que ça peut valoir le coup d'essayer.

Garlaz

 

[ Les deux vans des agresseurs sont criblés de balles et il y a peut de chance qu’ils puissent encore bouger. Pour ce qui est de la voiture d’escorte qui n’a pas explosé et du van des runners, ils ne sont vraiment en meilleur état, vu qu’ils ont servi de couverture…]

 

<OOC>
Ben ??? Je croyais qu'elles étaient blindées nos caisses ? Il avait pas dit ça au début le p'tit père Grüger ?
Garlaz
</OOC>

 

[Oui, mais un blindage léger. Ce qui signifie que rien ne vous assure que les véhicules vont démarrer et pouvoir rouler. Mais bon, on ne sait jamais… De plus, les pneus sont endommagés et malgré qu’ils soient anti-crevaisons, votre vitesse sera ralentit…]

Edgerunners.Inc

 

La ruelle de l’embuscade débouche sur une rue plus grande mais à cette heure, la circulation y est plutôt inexistante. Il n’y a pas âme qui vive et la fusillade qui vient de se produire, n’arrange rien aux choses…

La zone où se trouve les runners est un quartier en limite de la zone de combat. Même si la violence de la zone de combat n’est pas autant affichée, on peut la sentir toute proche…

Il y a bien des immeubles à proximité mais aucun ne semble vous attendre les portes grandes ouvertes. Les rares magasins sont fermés et pas de traces de bar ou autres activités nocturnes…

 

Garlaz, sur un ton plutôt agressif : "Alors m'sieur Grüger ! Vous nous avez foutu dans la merde, vous n'auriez pas une idée pour nous en sortir maintenant ?"

 

Entre temps, Garlaz s’est retourné et jeté à plat ventre, prenant son Dwarf à deux mains, en appui sur les coudes (position de tir de l'épreuve "silhouette métallique" <OOC> Ca, c'est réel la position. La "silhouette métallique" est une discipline de tir au pistolet à grande distance : une silhouette de poulet, échelle 1, est tirée au pistolet à 50m... </OOC>). Là, regardant sous la camionnette qui bloque l'arrière du van, il examine les pieds... pour en chercher deux qui n'appartiennent visiblement pas au même individu (pas les mêmes chaussures ou pas le même bas de pantalon) et qui ne bougent pas trop. Une fois trouvées, il envoie une balle dans chaque cheville. Normalement, les deux mecs en question devraient s'écrouler par terre (essaye de rester debout avec une cheville qui explose sous l'impact d'une balle de 10mm...) et offrir alors une cible non protégée (tête ou... une autre partie de leur anatomie que la décence m'interdit de préciser davantage, si on suppose que les slips en kevlar ne courent pas les rues ;o)) qu'il devrait alors pourvoir tirer tranquillement.

Enfin, disons que c'est ce qu'il essaye de faire...

 

Jason lâche des rafales régulières en direction du van de derrière et s'assure en compagnie des deux autres gardes que les agresseurs restent bien à couvert et gardent les pieds sur terre.....

 

Contenus derrière leur van par un feu nourrit de Bourne et des deux gardes de Grüger, les agresseurs ripostent tant bien que mal et semblent souffrir d'un sérieux manque d'organisation. Étant donné leur nombre, Garlaz n'a aucun mal à trouver des pieds découverts. Les deux tirs atteignent leur cible, fauchant les deux victimes net et les faisant tomber à terre, les laissant bien à découvert des tirs suivants de Garlaz...

 

Garlaz : "Yeah ! Et deux de plus à mon tableau de chasse !"

Et qu'est-ce qui se passe derrière la camionnette ? Si je vois d'autres panards qui traînent, je recommence ! Mais si je n'en vois plus, j'ai un plan de rechange pour la suite...

 

[Pas d'autres pieds qui se montrent, les autres semblent avoir compris la leçon, mais la situation semble gêner leurs ripostes]

 

Jason envoie la dernière rafale qui lui reste dans le chargeur du Pm de Garlaz, puis il dégaine son automatique, gardant le Pm dans sa main gauche (histoire de ne pas le perdre), et tout en continuant à tirer en direction du van, il commence à se replier, entraînant avec lui les deux autres gardes et Garlaz.

Tout en se repliant, Jason ne peut s'empêcher de pester en se disant qu'il aurait du amener des grenades...

 

Garlaz à Jason : "ATTENDS !" et en se relevant il attrape 2 chargeurs de rechange qu'il passe à Jason avant de continuer : "Gardez-les au chaud derrière la camionnette ! Je vais récupérer le lance-roquettes et en coller une dans la camionnette. Une fois que la carcasse sera retombée, vous foncez simplement aux résultats, si jamais il y avait un survivant interrogeable... OK ?"

Et, sauf si Jason ou un des gardes proteste immédiatement, Garlaz part au sprint vers l'arrière de la première camionnette pour mettre son plan à exécution

 

Jason répond d'un signe affirmatif de la tête, ramasse les chargeurs, recharge le PM et ouvre un feu nourrit en direction du van pour permettre à Garlaz de se replier vers le lance-roquettes puis une fois que Garlaz aura l'arme, il se fait tout petit derrière la voiture pour se mettre à couvert de la déflagration, recharge le PM et se tient près à terminer le travail...

 

[Donc Garlaz remonte en courant jusqu'au van de devant. Il y retrouve le corps de sa première victime et à ses pieds le lance-roquettes et sur lui deux recharges. Il récupère le lance-roquettes. Personne ne l'en empêche. Les deux roquettes restantes sont identiques. En ce qui concerne le maniement, pas de problèmes. Pour les distances, idem, 50-55m de sa cible : distance idéale pour un tir au lance-roquettes... Reste plus qu'à tirer et il touche sa cible sans difficulté... et boum la camionnette. Pas de dégâts collatéraux pour Jason et les gardes...

 

Au moment du tir de la roquette, les plus proches peuvent entendre Garlaz, du fond de sa concentration dire : "Torpedo... LOOS !"

 

L'explosion de la roquette a pour effet de faire reculer le van et de libérer en partie la ruelle. Même si ça risque de frotter un peu...

 

Dès que le souffle de l'explosion est passé, Jason bondit hors de son couvert et avance avec une rapidité déconcertante en direction des restes du van. Il a transféré le Pm de Garlaz dans sa main gauche et tient son automatique dans sa main droite. Les deux armes sont pointées vers l'avant prêt à ouvrir le feu en direction d'un éventuel signe de résistance encore en vie. Il achève les derniers agresseurs d'une balle dans la tête, sauf un, le moins abîmé, qu'il tente de garder en vie après l'avoir désarmé et immobilisé (avec la ceinture du type ou n'importe quoi d'autres pouvant servir de lien)

 

Un des agresseurs a eu le réflexe de se jeter à terre au moment de l'explosion. Bien que blessé et sonné par le souffle, cela lui a sauvé la vie mais malheureusement pour lui, cela a fait de lui le prisonnier des runners...

Ses blessures, bien que grave, non seront pas mortelles pour lui à condition ne pas être trop mal traité...

Bien ligoté et toujours sonné par l'explosion, il n'offre que peu de résistance aux runners

 

Aussitôt après le tir, Garlaz récupère la dernière roquette, la met en place et remet la sécurité de l'arme. Puis il prend le lance roquettes de la main gauche, ressort l'IMI Dwarf de sa poche avec sa main droite et repart pour un petit footing de 50m vers l'endroit où était la camionnette arrière à l'origine pour voir ce qui reste des gugus qui étaient planqués derrière (quel curieux ce Garlaz ;o)) et essayer de récupérer du matos sur les cadavres (les deux premiers, ceux tués au pistolet par en dessous de la camionnette n'ont peut-être pas été trop abîmés...).

Mais en aucun cas il ne lâche le lance-roquettes : prise de guerre !

 

Jason rejoint Garlaz pour s'occuper de la fouille rapide de la zone...

 

Après quelques pas Garlaz réalise qu'il est en train de faire une connerie.

"Jason ! Je te laisse avec les argonautes... heu... les deux gardes pour aller voir ce qu'il est advenu de nos agresseurs qui étaient derrière la camionnette de l'arrière !"

Puis il fait demi-tour et retourne au cadavre du tireur ex-lance-roquettes pour le fouiller et voir ce qu'il y a à récupérer... Puis, pris d'une soudaine illumination, il entre dans la camionnette qui bouche toujours l'avant et la fouille en profondeur : derrière les pare-soleil, les boites à gants, sous les sièges, et, bien sûr, tout l'arrière...

 

Le tireur au lance-roquettes porte un gilet pare-balles identique aux autres et un automatique Arasaka Wsa ( avec 2 chargeurs). Dans le van, rien d'exploitable : pas de papier d'ID, pas d'indice sur une quelconque identité des agresseurs...

 

Pour l'arrière, l'explosion de la roquette et du même coup du van à pas mal endommagé les équipements. Les armes et protections des 5 agresseurs (idem à ceux de devant...) sont trop endommagés pour pouvoir servir sans réparation...

 

Garlaz récupère alors l'Arasaka WSA (avec un regard envieux vers les PM Minami...) du tireur et le dépouille aussi de son gilet pare-balles (enfin si c'est soit à ma taille, soit un truc qui se règle avec des velcros).

Pour les autres agresseurs, il essaye de récupérer au moins quelques chargeurs pour se réapprovisionner en munitions...

 

Velvet : « Est-ce qu’on peut passer et est-ce que le van peut rouler ? (attente de réponse du meujeu et Séraphin) »

 

Séraphin : "Bon, ben techniquement, il devrait rouler, mais bon, compte tenu des pneus crevés, pas trop vite, enfin..."

 

Velvet : « C’est reparti pour un tour ! »

Le petit groupe fait machine arrière et tout ce beau petit monde monte dans le van (on tient a 10 ?).

 

[Vous avez un peu de mal mais ça rentre. Y a juste que vous ressemblez à une bande de sardines... ]

 

[Eh ben les sardines elles se cassent en faisant attention a d'éventuels pécheurs (si on en voit, on leur donnera l'absolution finale (attention, faut réfléchir pour celle la...))

Velvet]

 

Direction la zone sécurisée (quoi que maintenant, celle là l’est pas mal !...). Si on redémarre, Velvet appelle la police pour leur dire (histoire qu ils nous tuent pas...)

Si on a capture un gonz : dans le coffre (les prises de guerre ne seront donc pas stockées dans le coffre)

 

Dès que tout le monde est embarqué, le chauffeur de Grüger démarre. Le van grince un peu mais se met quand même en marche. Le chauffeur recule, percutant légèrement les restes du van pour passer. Il recule dans la ruelle et tourne à droite à la première ruelle transversale puis à gauche. Il récupère ainsi la direction du départ et reprend le trajet malgré un van qui a du mal à dépasser les 60 km/h.

Le chauffeur vous dirige pendant environ 4 km à l'intérieur de la zone et stoppe devant un ancien entrepôt qui semble désaffecté. Une porte s'ouvre et le van s'engouffre à l'intérieur de l'entrepôt, la porte se referme et le van stoppe.